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Le Complot Contre Michael Jackson (Le Documentaire)

  • Publié par Funky Thug
  • jeu 28 mai 15 - 02:36
  • Genre: rnb

Le Complot Contre Michael Jackson

Documentaire qui fait juste la synthèse du livre 'Le complot contre Michael Jackson' et surtout le dernier chapitre dans la réédition réécrit après la mort du chanteur sur le procès contre le Dr Conrad Murray. Pour ceux qui aiment pas lire... Le documentaire explique bien que ce n'est pas le docteur Conrad Murray qui est responsable de la disparition du King Of Pop. Mais bien les médias et à plusieurs personne dans l'entourage de Jackson avide d'argent.

Ce qu'on apprend dans le livre pendant le procès et qui n'est pas dans le doc :

-Michael Jackson a donné plus de 400 millions de dollars à des œuvres caritatives, notamment grâce à sa tournée Dangerous World Tour. Il est le plus grand donnateur (pourtant il n'etait pas le plus riche)

-En 2010, le FBI rend public le dossier de Michael Jackson, dans lequel les autorités soulignent n'avoir trouvé aucune preuve ou comportement chez Jackson qui soutiendrait les accusations passées.

-Michael avait donné un concert pour fêter ses 30 ans de carrière le 10 septembre 2001. Le lendemain se passe l'attentat du 11 septembre. Il décide à l’époque de reversé tout l'argent récolté aux victime et paye les billets d'avions de ses propres fans venue au concert coincé à NY.

-Ont été diagnostiqués sur lui en 81 à la fois un vitiligo (dépigmentation de la peau) et un lupus (inflammation de la peau). Le rapport d'autopsie de 2009 confirme d’ailleurs qu’il souffrait bien d'un vitiligo depuis plus de 20 ans. Il s'est aggraver avec son accident dans la pub Pepsie Cola en 84, avec une brûlure aux second degré (le plus grave). Michael avait llvré à la cours sont dossier médicale.

-Lors de ce procès, l'accusation veut faire témoigner le premier accusateur, Jordan Chandler, mais l'avocat de Jackson, Tom Mesereau, rassemble de son côté plusieurs témoins de la tentative d'extorsion et des aveux de Jordan selon lesquels Michael ne l'aurait jamais agressé. Jordan a demandé à être libéré de la garde légale de ses parents, lorsque Evan Chandler a attaqué et blessé son fils en 1996, Jordan aurait révélé en juillet 2009 avoir menti sur les allégations

-Sneddon a ensuite été pris en train d’essayer d’utiliser des empreintes digitales comme preuve contre Jackson, lorsqu’il a demandé à l’accusateur Gavin Arvizo de tenir des magazines pour adultes au cours d’une audience devant un grand jury. Il les a ensuite mis dans des sacs et les a envoyés pour faire analyser les empreintes digitales.

-Michael Jackson avait toujours accueillit des enfants malades, des bas quartiers de LA même à l’époque des Jackson Five à Encino sa maison d'enfance. Certain enfant ont témoigné pour aidé Michael Jackson,

Brett Ratner (réalisateur de Rush Hour) a refuser de témoigné pour aider Michael Jackson, pourtant très proche de Michael et sa famille. Il a même réussit a faire une interview improvisé dans la chambre de Michael Jackson en pyjama.Lien Il a était témoin du comportement bizarre des accusateurs de Michael. Comme dit dans le documentaire beaucoup de star se sont montré comme ami de Micheal mais ont refusé de témoigné pour l'aidé en 2005.

Chris Tucker avait averti plusieurs fois que les accusateurs de MJ avait déjà escroqué plusieurs autre star dont Magic Johnson et Kobe Bryan. Michael se souciait plus de guerir l'enfant du cancer, pour dire le niveau de naiveté de Michael.

La déposition de Martin Bashir au procès de Michael Jackson : (Extrait du livre) Le vrai tournant du procés. D’après les témoignages des membre du jury.

«  Quand Bashir entra pour la première fois dans la salle d’audience, Katherine se leva  et sortit de la salle. Elle ne supportait pas d’être dans la même pièce qu’un homme ayant déçu son fils d’une manière si déloyale. Même si Katherine finirait par regagner sa place pendant la diffusion du documentaire, elle était visiblement dégoûtée par son contenu, furieuse de voir le piège dans lequel son fils était tombé…

Quand le documentaire s’acheva, Tom Sneddon n’ayant pas d’autres questions à poser au journaliste anglais, ce fut au tour de Tom Mesereau de réaliser le contre-interrogatoire de Bashir ; l’avocat de la défense semblait prêt à combattre.

  « M. Bashir, pour produire le programme que nous venons de voir, vous avez dû parler à M. Jackson, n’est-ce pas ? », demanda Mesereau sur un ton assez amical.

  « Exact », répondit Bashir.

  « M. Bashir, vous avez fait signer un accord à Michael Jackson sans la présence d’un avocat, n’est-cepas ? »

  « M. Jackson a signé deux accords pour lesquels il n’a exigé aucune condition quelle qu’elle soit et il a accepté que je fasse le film avec lui », expliqua Bashir.

  Lorsque Tom Mesereau commença sa litanie de questions, il devint évident qu’il avait bien préparé son travail. Mesereau voulait savoir pourquoi Bashir avait été dénoncé à trois reprises pour ses pratiques journalistiques « malhonnêtes » en Angleterre.

  « M. Bashir, avez-vous été sanctionné par la Commission des plaintes en matière d’audiovisuel ? », s’enquit Mesereau.

  « La réponse à cette question, c’est que trois plaintes ont été déposées contre moi », attesta Bashir,  « Les deux plaintes majeures ont été retirées et elles étaient en rapport avec l’équité et l’impartialité. L’une des trois a été maintenue. Je peux développer pour que les gens comprennent bien ? »

  « Bien sûr »

  « La commission des plaintes en matière d’audiovisuel n’est pas une instance juridique », expliqua Bashir aux jurés, « et elle ne jouit d’aucune compétence particulière en matière de justice ».

  « Pourtant, une plainte a été déposée contre vous en tant que journaliste, exact ? »

  « Comme je l’ai dit, monsieur, trois plaintes ont été déposées. Les deux plaintes principales ont été complètement retirées. L’une des trois a été maintenue », répéta Bashir.

  Bashir avoua à Mesereau qu’il avait été accusé de « partialité » et de « rupture de contrat ». Il attesta que ces deux plaintes avaient été « retirées » mais que la troisième lui avait valu des sanctions. La plainte en question lui reprochait d’avoir manqué d’impartialité dans son reportage, de « ne pas avoir représenté le sujet dans sa globalité ». Le même reproche que Michael Jackson lui adresserait par la suite.

  Quand Mesereau interrogea le journaliste sur ses expériences problématiques, Bashir ne s’attendait visiblement pas à ce que quelqu’un connaisse les détails peu flatteurs de son parcours. Il tenta de l’ignorer mais son malaise face à l’évocation de ses pratiques journalistiques « malhonnêtes » était flagrant pour les personnes présentes dans la salle d’audience.

  Tom Mesereau posa des questions sur les déclarations que Bashir avait faites à Jackson, sur les nombreuses promesses qu’il lui avait faites pour l’amener à coopérer totalement et sans réserve à son projet. Même si Mesereau fut interrompu par le puissant avocat de Bashir, Théodore Boutrous, un homme qui représentait la chaîne ABC, il poursuivit sa série de questions. Bien souvent, les objections étaient retenues car Bashir était protégé par la loi bouclier californienne : celle-ci affirme que les journalistes ne peuvent être contraints à témoigner sur les choses qu’ils ont apprises en travaillant sur un sujet.

  L’avocat de Bashir, T. Boutrous, était perçu comme une « lumière » dans les dossiers de grande envergure…

  Boutrous interrompit le témoignage de Bashir, objectant que les questions de Mesereau violaient la loi bouclier californienne et les droits de Bashir tels que définis par le premier amendement. Mesereau savait pertinemment que Bashir n’avait pas voulu témoigner dans le procès contre Jackson…

« M. Bashir, dans le programme que vous avez conçu et que nous venons de voir, M. Jackson fait des déclarations qui indiquent que rien de sexuel ne s’est produit dans son lit, exact ? », demanda Mesereau.

  « Exact »

  « Pour obtenir cette interview avec M. Jackson lorsqu’il a fait cette déclaration, vous lui avez dit qu’il était sous-estimé, n’est-ce pas ? »

  A cette question, comme à beaucoup d’autres avant elle, l’avocat d’ABC fit objection au nom de la loi bouclier mais le juge Melville rejeta l’objection et demanda à Bashir de répondre. Le juge fut abasourdi lorsque Bashir refusa, déclarant à la Cour : « Je m’appuie sur le privilège de diffusion et sur la loi bouclier, Votre Honneur. »

  « M. Bashir, vous avez écrit à l’assistant de M. Jackson et vous avez affirmé que vous aimeriez beaucoup filmer Michael avec un grand groupe d’enfants, une cinquantaine environ, en train de les accueillir et de leur faire profiter de son extraordinaire propriété de telle manière que cela mette un peu de soleil dans leur vie le temps d’une journée, n’est-ce pas ? », demanda Mesereau.

  « Objection », répliqua Boutrous.

  « M. Bashir, avez-vous demandé à Michael Jackson d’inviter Macaulay Culkin à Neverland pour que vous puissiez le filmer ? »

  «  Objection, loi-bouclier », fit Boutrous.

  « Lorsque vous réalisiez ce film, M. Bashir, avez-vous écrit à l’assistant de Michael Jackson en lui disant que vous vouliez filmer les beaux paysages pour encourager chacun de nous à retomber en enfance ? »

  « Objection, loi-bouclier, premier amendement », répéta Boutrous.

  « M. Bashir, dans le programme consacré à Michael Jackson, M. Jackson déclare que rien de sexuel ne s’est produit dans sa chambre. Pour obtenir cette déclaration de sa part, vous avez dit à M. Jackson que ses disques avaient accompagné une partie de votre vie sentimentale, n’est-ce pas ? »

  « Objection, Votre Honneur », répondit Boutrous. « Même motif : premier amendement et loi-bouclier ».

  « Souhaitez-vous répondre à la question ? », demanda le juge Melville.

  « Non, Votre Honneur », déclara Bashir.

  « M. Bashir, dans votre programme, M. Jackson déclare que rien de sexuel ne s’est produit dans la chambre. Pour obtenir de lui cette déclaration, vous lui avez dit que vous approuviez son idée de créer une Journée mondiale des enfants, n’est-ce pas ? »

  « Mêmes objections, Votre Honneur », réclama Boutrous.

  « Rejetées », déclara Melville. « Souhaitez-vous répondre à cette question ? »

  « Non, Votre Honneur », répondit Bashir au juge.

  « M. Bashir, lorsque vous avez pris contact avec M. Jackson pour faire ce film, avez-vous affirmé à tort que vous étiez en train d’organiser un voyage en Afrique pour que M. Jackson puisse rendre visite à des enfants malades ? », demanda Mesereau.

  « Objection », déclara Boutrous.

  « M. Bashir, vous avez complimenté Michael Jackson pour ce qu’il fait en faveur des enfants défavorisés des ghettos, n’est-ce pas ? »

  « Objection, loi-bouclier, premier amendement ».

  « M. Bashir, vous avez interviewé M. jackson et lui avez posé des questions de manière répétée sur son désir de créer une Journée mondiale des enfants, exact ? »

«  « Même objection »

  « M. Bashir, pour obtenir la déclaration de M. Jackson affirmant que rien de sexuel ne s’était produit dans sa chambre avec des enfants, vous lui avez dit que vous alliez organiser une rencontre avec Kofi Annan, secrétait général des Nations unies, et que vous alliez préparer un voyage en Afrique avec M. Jackson et Kofi Annan pour venir en aide aux enfants africains souffrant du sida, exact ? »

  « Mêmes objections, Votre Honneur » avança Boutrous.

  Ce jour-là, lors de la pause de l’après-midi, quand on lui demanda comment il se sentait, Michael déclara doucement : « Je suis en colère ». Ce fut l’une des dernières fois où il répondit à un journaliste au cours du procès. (Il paraît qu'à partir de cela la santé du chanteur à décliné jusqu'à la fin du procès).

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